Frédérique Hoerner et Eric Ordonneau Architectures : notre agence basée à Bordeaux depuis 1998 intervient aussi bien dans la construction neuve qu'en réhabilitation en marchés publics et privés. Nous travaillons dans des domaines variés : maisons individuelles, maisons de ville, logements collectifs, habitat social, établissements scolaires, équipements municipaux, salles des fêtes, bureaux, commerces, cabinets médicaux. Nous vous donnons les moyens nécessaires à la réalisation de votre projet, de l'esquisse à la réception des travaux, offrant un service complet, simple et transparent : conseil, réalisation de plans, demandes de permis de construire, chiffrage, consultation d'entreprises, suivi des travaux, assistance à la réception des travaux. Grâce à la compétence des entreprises qualifiées que nous dirigeons tout au long du chantier et à la recherche constante des coûts maîtrisés, notre agence démontre que l'on peut joindre qualité, gestion du temps et objectif financier. Demeurant constamment disponible, nous sommes à votre écoute pour l'élaboration d'un projet sur mesure, soucieux d'obtenir une réalisation contextuelle unique et personnalisée.
Trophée d’Architecture Vivons Bois
La maison Plateforme a reçu le 1er Trophée d'Architecture du salon Vivons Bois dans la catégorie maison individuelle.
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AMC les "100 bâtiments de l''année"
La maison Plateforme de Biscarosse a été retenue parmi les "100 bâtiments de l''année" de l'annuel d'architecture 2010 AMC du Groupe Le Moniteur.
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le 14.10.2017 visite de réalisation JPO JNA
Dans le cadre des journées nationales de l'architecture et des Journées Portes Ouvertes des Agences d'architecture, l'agence Hoerner Ordonneau vous propose une visite de réalisation :
La péniche Bosco, péniche de marchandises à l'origine, avait été transformée une première fois en centre d'accueil pour jeunes en difficulté. nous l'avons re-transformée en habitation flottante. le projet comprend la réhabilitation de l'existant et une surélévation neuve. La surélévation est bâtie avec le même procédé structurel que la coque, en plaques d'acier soudé nervurées. Le projet fait entrer la lumière au coeur du projet et la surélévation préserve la navigabilité de la péniche.
Visite à 14h samedi 14/10, gratuit sur inscription par mail auprès de: contact@hoerner-ordonneau.fr
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CIAP de Bordeaux - Bordeaux Patrimoine Mondial
Le Centre d'Interprétation de l'Architecture et du Patrimoine de Bordeaux, a été inauguré le 28 février 2014. Ce nouvel équipement culturel est conçu comme un lieu de ressources et de (re)découverte de la ville, de son paysage urbain et des enjeux de son évolution.
Adresse : 2-8, place de la Bourse
Entrée libre et gratuite, tous les jours de 10h à 19h
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Exposition AIRE
Nos deux projets Lauréats de l'appel à projets AIRE -La Fab et Bordeaux Métropole- :
Dangeard Est à Bordeaux et Côte de la Garonne à Lormont
sont présentés à l'exposition Territoires de Travail dès le 24.09.18
Hôtel métropolitain / Hall d'accueil / Esplanade Charles-de-Gaulle / Rue Jean Fleuret
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Le projet prend place sur la partie Nord du Square Arnstadt. Il prévoit la construction d’un ensemble reprenant différentes structures de la ville, ainsi que plusieurs espaces extérieurs de jardins et voirie. Le parti est de conserver le plus de boisement du parc possible, de le compléter suite aux travaux et de donner la plus grande liberté d’usage possible au square par des espaces libres généreux, des promenades traversantes et des vues agréables pour tous depuis les voies, le parc ou le bâtiment.
L’écostructure est généreuse pour les usagers et pour les visiteurs. Les espaces sont conçus de l’intérieur vers l’extérieur, avec un grand soin apporté aux usagers.Le projet offre le plus d’air et de lumière naturelle possibles. Les circulations sont limitées et largement dimensionnées, les hauteurs généreuses et les sorties amples et nombreuses pour éviter tout sentiment de claustrophobie et favoriser les relations dedans-dehors au sein de l’écostructure et vers l’espace public du square.
L’architecture crée les conditions d’une relation forte dedans-dehors pour renforcer les liens homme-nature et la prise de conscience environnementale. L’approche bioclimatique du projet consiste à concevoir le bâtiment en fonction de son contexte et de son usage et à intégrer les apports naturel dans la conception.
Le projet utilise les énergies renouvelables et vise l’énergie positive BEPOS. Pour devancer la réglementation et proposer les solutions les plus adaptées au projet, nous adoptons une démarche BIM. L’emploi de matériaux bio-sourcés va dans le sens d’un bâtiment écologique et sain pour les occupants.
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Le projet établit un jeu de volumes, de matières et de couleurs avec le bâti préexistant. Il apporte aux salles existantes un complément essentiel en termes d’espaces extérieurs et semi-extérieurs, d’usage polyvalent et une ambiance festive qui les signale depuis le domaine public. L’usager est au cœur du projet, la salle principale est améliorée en termes d’espace, de lumière naturelle, de confort d’hiver, d’été et de qualité de l’air.
Le projet prévoit la réhabilitation de la bâtisse existante dans son caractère fort et massif, sa remise aux normes et une amélioration de ses confort, fonctionnalité et visibilité par la création de deux extensions ouvertes contemporaines, légères et réversibles apportant un souffle d’air frais festif.
Les interventions ponctuelles signalent les salles intérieures et créent une relation dedans-dehors qui n’existait pas :
Un auvent-barnum de 94 m2 prolonge le SAS d’entrée de la grande salle pour un accueil abrité le plus large possible des invités ou du public. Composé de manière originale pour être unique et repérable, il symbolise la fête, les mariages et le côté éphémère de la fête par son inspiration directe des barnums classiques et autres tentes de mariages et de nomades. Un Sas avec escalier et balcon en façade Sud abrite des sorties de secours de trois salles, crée un accès de livraison à la cuisine et une entrée indépendante par l’extérieur à la salle de l’étage. Sa façade brise-soleil pétillante, colorée et festive est composée d’un écran animé de facettes de métal coloré et de miroirs, évoquant les boules à facettes, les robes en lamé et les tons pastels des décors de mariages. Certaines facettes recevront des cellules photovoltaïques.
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L’objectif est d’offrir de grands espaces lumineux et agréables même en coeur d’immeuble et de produire des bâtiments contextuels et éco-responsables. Ce parti se traduit par la superposition de grands plateaux largement débordants à forte inertie thermique qui ombragent et protègent les espaces intérieurs du soleil et des fortes pluies tropicales. Le bâtiment se tient en retrait côté rues. Il offre au rez-de-chaussée une galerie ouverte sur rues. Aux étages, il s’ouvre à la relation dedans-dehors et à la vue vers le grand paysage - la mer, le fleuve et la ville - par de larges balcons et baies vitrées munis de brise-soleils. Le bâtiment répond au climat tropical par des solutions passives : planchers à forte inertie, débords de toits et balcons en casquettes, cheminées à vent par principe de cours intérieures, panneaux brise-soleils en moucharabiehs, plantations. Il ne fait appel à aucune technicité particulière pour un entretien facilité. Les matériaux sont choisis pour leur longévité, leur simplicité de fourniture, de mise en oeuvre et de nettoyage.
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Le projet s’inscrit dans le cadre du programme «50000 logements autour des axes de transport» de la Fab, initié par Bordeaux Metropole. Le parti est issu du contexte : le coteau, le maillage piétonnnier, la Cité ouvrière, les jardins et les treilles existant sont repris comme vocabulaire architectural du projet. Organisés autour de venelles conviviales facilitant les relations de voisinage, les logements ont des accès privatifs et des jardins, balcons et terrasses individuels. Ils sont accolés et regroupés pour éviter les déperditions thermiques et pour gagner le plus d’espaces verts possible.
Les jardins sont aussi regroupés pour proposer des poches de nature en coeur d’îlot permettant la création d’un écosystème. Chaque unité de vie comporte : un logement + un jardin d’une surface de 50% environ de celle du logement. Une treille végétalisée, un arbre, un abri à vélos et une entrée individuelle sont donnés à chacun pour se sentir chez soi « comme dans une villa ». Les jardins sont en pleine terre pour pouvoir la cultiver ( comme dans la Cité ouvrière d’origine ) et directement accessibles depuis le logement. La relation intérieur-extérieur est privilégiée : de larges baies vitrées sans allège gomment la paroi, et les espaces extérieurs sont traités comme des intérieurs avec un travail réalisé sur les limites. Le projet propose des typologies variées pour des futurs habitants différents, des logements différents en termes d’aspect, de volume et de manière d’habiter. Les treilles permettent de gérer les vis-à-vis et forment une ossature appropriable et constructible, pour une évolutivité des logements.
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Le bâtiment neuf de l’école maternelle s’affirme comme un bâtiment contemporain lisible de l’espace public et signale l’entrée commune par une longue pente douce de toiture. Les extensions de l’école élémentaire prolongent les volumes existants et un blanchiment général du groupe scolaire unifie l’ensemble. Un élément d’accroche identitaire est ensuite amené sur l’ensemble au travers de verrières colorées en coursives et auvents. Ces éléments liaisonnent physiquement et symboliquement les bâtiments tout en laissant passer une lumière colorée vivante et adoucie.
Le parvis prolongé jusqu’à l’intérieur de la parcelle dessert les espaces mutualisés directement, sans traverser de Hall ou de SAS fermé, pour les associations de la commune, les particuliers ou avoisinants (gymnase, motricité et atelier, arts plastiques, bibliothèque informatique, «verger», restaurant, cours). L’école maternelle recycle en partie l’ancienne école : sa dalle basse est conservée afin de limiter les coûts du projet, de gagner du temps et de créer moins de nuisances lors des démolitions. La nouvelle enveloppe vient en périphérie. La structure bois est choisie pour ses nombreux avantages : Lutte contre l’effet de serre, rapidité de mise en oeuvre, minimisation des déchets, des nuisances et de la consommation d’eau sur chantier, limitation des ponts thermiques, qualité et chaleur apportée par le bois en ambiance intérieure.
Des sheds vitrés en toiture complètent les baies Est et Ouest en apportant aux salles un éclairage indirect régulier et de qualité sans éblouissement ou surchauffe. Ils captent les apports solaires d’hiver et permettent la ventilation et le rafraîchissement passif des espaces. Le chantier est prévu phasé sans relogement en site occupé.
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Les difficultés que connaît aujourd’hui l’économie mondiale, associée à la prise de conscience de la nécessité de s’orienter vers une architecture écologique ont créé les conditions d’une approche nouvelle.
La sobriété révèle ses mérites et ses attraits et une nouvelle génération de bâtiments apparaît, moins coûteux, plus intelligents, peut-être moins luxueux mais plus conviviaux et accueillants. Notre engagement en ce sens a conduit au rassemblement des fonctions nouvelles dans un bâtiment unique, compact, de volumétrie simple, léger, sans technicité particulière et aux matériaux standards ; ainsi qu’à la création d’espaces intermédiaires dedans-dehors, apportant des protections et des ambiances particulières sans être fermés et coupés de l’extérieur. Ces espaces répondent à l’idée que la vie de l’école ne reste pas cantonnée dans les façades et les murs mais puisse s’étaler au-delà tout en étant protégée malgré tout du froid, du vent et de la pluie. Ils répondent aussi à l’idée que l’usage du bâtiment peut changer au rythme des saisons : Certains espaces peuvent être plus agréables à une saison qu’à une autre ( la «serre-atelier», les préaux et coursives élargis, le porche d’entrée,...).
La Ville de Bruges a conservé son activité maraîchère et un lien fort à la nature. Le projet s’imprègne de cette identité avec un paysagement fort du site hors les cours et dans les cours au droit des classes ; par une façade rue très végétalisée ; par la conservation et l’extension du jardin de l’ancien logement ; par la Serre-Atelier et un Jardin sur le Toit qui redonne des surfaces enlevées au sol ; par un bâtiment neuf inspiré de l’architecture agricole locale (chais, granges, hangars). La végation apporte un micro-climat aux classes. La serre chauffe le bâtiment l’hiver. Ventilation semi-passive proposée.
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Le terrain est situé dans le Pôle technique du Grand Port Maritime de Bordeaux de Bacalan. Constitué d’une cabine de peinture et atelier de soudure, d’un marbre de montage et d’une zone de chargement, le Hall de montage neuf est pourvu de deux ponts roulants sur toute sa longueur. Il s’intègre à l’environnement du Port grâce à sa forme, sa teinte et son orientation.
Des sheds vitrés éclairent la partie centrale du hall et intègrent les châssis de désenfumage. De larges baies ponctuent les façades longitudinales. Positionnées à différentes hauteurs, elles permettent d’éclairer et ménager des vues quelque soit la hauteur du pont du bateau qui sera réparé. Un soubassement brique permet d’affiner sa silhouette et de faire un lien avec le futur CTV voisin. Le pignon Nord par où entrent les bateaux est très largement ouvert, ce qui apporte un éclairage naturel abondant et homogène du Hall.
La démarche environnementale consiste dans le choix de matériaux pérennes, faciles à nettoyer et à entretenir, comme le verre pour les baies. Afin de respecter le confort d’été pour les travailleurs, l’enveloppe du bâtiment est isolée et les sheds sont prévus ouvrants pour évacuer l’ai chaud accumulé. L’acoustique est traitée ( plateaux perforés ). Bardage et couverture sont isolés pour le confort acoustique et thermique. Le bardage est précieux, de teinte moirée rouille / vert Garonne. Un système de brise-soleils faisant référence à des ouies de poisson et orientés suivant les calculs permet d’éviter tout éblouissement.
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Le projet prévoit un restaurant d’entreprise pour 85 commensaux, des bureaux et un ensemble de vestiaires sanitaires pour 60 personnes extensible à 120. Le choix de construction sèche bois permet de produire un bâtiment léger, démontable, modifiable, bas carbone et au chantier consommant peu d’eau. Les filières bois locales sont utilisées. Des extensions sont possibles par rajout de portiques en prolongement de l’aile Sud. Le bâtiment est bioclimatique : orientation favorable, chauffage et rafraîchissement semi-passifs, tampons thermiques, dallages et isolants à fort déphasage.
Une terrasse avec pergola Sud et plantations grimpantes Ouest est ajoutée pour un usage convivial et agréable du restaurant. De grandes baies ouvrantes à 50% offrent des vues et une relation dedans-dehors privilégiée. Un espace intermédiaire sous auvent au droit du vestiaire permet des temps de pause partagés en extérieur et à la fois sert à doubler la capacité d’accueil du vestiaire lors de pics d’activité ( démantelage d’un gros navire, etc.) par le rajout de containers, il devient alors circulation.
Le restaurant, autonome et avec parking, peut être mutualisé avec d’autres entreprises de la zone d’activité. Les compléments de chauffage et rafraîchissement sont prévus sur énergie renouvelable pompe à chaleur sur eau de Garonne, au vu de la situation sur le quai et de l’engagement du Port dans une démarche de TEPOS ( Territoire à Energie Positive ). Cette innovation fait sens pour le maître d’ouvrage qui travaille au quotidien avec le matériau - fleuve Garonne.
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Le projet est de créer un village neuf de maisons, petit collectif et cabanes au coeur de la nature luxuriante et exubérante camerounaise. Des maisons en bois en plein coeur de la forêt tropicale. Un village avec tout le confort : commerces de proximité et artisanat, cafés, restaurants, salle commune, plaine des sports avec club sportif, lac de baignade et activités nautiques, golf club et terrain d’entrainement, cabanes dans les arbres, placettes. Placée au coeur du projet, la forêt ombrage les maisons, les voies, les abords du golf et du lac dans le respect de l'écosystème.
Chaque habitation, à l’architecture moderne et épurée, comportera une grande terrasse extérieure intégrée à la nature. Un bar abrité avec salon extérieur apporte un complément de convivialité et des options sont prévues pour plus de confort : piscine, pool house, garage, studio de service, studio
d’invités, salle de jeux ou chambres supplémentaires. Les constructions sont conçues pour un coût global optimisé, avec une production éco-responsable : elles consomment le moins possible d’énergie grâce aux dispositifs d’ombrage et rafraîchissement passifs, l’eau de pluie est régulée, les options naturelles et gratuites sont privilégiées. Ce projet a l’ambition d’être une initiative sociale avec objectif de former des apprentis locaux et pérenniser l’artisanat traditionnel : menuiserie, mobilier, travail du bambou, terre crue, terre cuite, tissage de la paille…
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C’est une chance de pouvoir entrer librement dans l'architecture de Gabriel et expérimenter la relation intérieur-extérieur très étroite offerte par ses nombreuses, immenses baies vitrées donnant sur l'ancienne place royale, le fleuve et l'autre rive. Nous avons souhaité préserver à tout prix cette relation. Des modules plus ou moins fermés obscurcissent ponctuellement tout en laissant toujours passer le regard et ressentir l'ensemble du volume. Des façades miroir côté place agrandissent l'espace et permettent des jeux de vues avec le paysage et les passants. Les relations intérieur – extérieur sont constantes, par le dégagement de toutes les grandes baies et par l’ajout de bancs tout le long qui les soulignent et invitent à profiter de leur situation exceptionnelle. Une nouvelle entrée est créée exclusive au CIAP. L’espace pédagogique occupe la partie Nord du bâtiment, il possède une entrée indépendante. Une percée visuelle relie l’espace d’exposition à la salle pédagogique et apporte une vue vers la rue F Philippart.
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Réparti en trois bâtiments reliés à couvert, le pôle est accessible par deux entrées principales sécurisées. Chaque entité regroupe une thématique, école, ALSH, restaurant. Un accès privatif permet à chaque module de fonctionner de manière autonome pour une utilisation hors période scolaire. Les principes de conception bioclimatiques et la recherche du bien-être des enfants et leurs encadrants ont été prépondérants. La construction fait appel à la filière sèche bois locale et à l'énergie renouvelable Bois, le bilan carbone est optimisé, le bâtiment est léger, compact, protégé des intempéries et protecteur de ses cours. Il bénéficie d'énergie solaire passive et d'une ventilation naturelle par puits à vent.
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Le projet consiste à transformer une école élémentaire en maternelle et vice-versa.
Maternelle Déjean : Deux entités comportant chacune classes, repos, sanitaires et salle de motricité à proximité permettent de supprimer les longs couloirs. Une galerie périphérique colore et ombrage les classes, protège les trajets des parents, l'accès au restaurant et à l'accueil périscolaire sans enlever de cour ni d'aération naturelle aux classes. Un ascenseur, un accueil scolaire, un préau sont ajoutés.
Elémentaire Girol 1 : l’entrée est déplacée et le restaurant agrandi. Un parvis d’entrée en liaison avec un sas d’entrée vitré donne sur une ‘colline’ côté cour pour une transition douce et ludique vers la cour en contrebas.
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L'OPH des Landes a lancé la réhabilitation en site occupé de son parc de logements sociaux de la zone Sud-Ouest. Les six cités concernées datent de 1960 à 1975. Les travaux comprennent la mise aux normes de sécurité, hygiène et accessibilité de tout ou partie du clos/couvert, parties communes, parties privatives, réseaux et/ou espaces communs extérieurs. Suivant les cités, ils ont consisté à remanier les entrées d’immeubles, traiter les abords, créer une isolation thermique par l’extérieur, remplacer les menuiseries et fermetures extérieures, réviser les couvertures et garde-corps, renforcer l'isolation en toitures, remanier et refaire à neuf les parties communes et les pièces d’eau des logements, prévoir ou refaire le réseau de chauffage et ventilation. Afin d'éviter les ponts thermiques, les côtés et sous-faces des logements donnant sur un local non chauffé, les acrotères des toitures terrasses et une partie des murs séparatifs des balcons ont été isolés, et les casquettes béton des entrées ont été supprimées. La cité Castillon est une construction à ossature béton-métal et remplissage bois : le bardage bois existant a été remplacé par un bardage en fibres-ciment avec complément d’isolation par l’extérieur. Les cités La Palombière, Les Mouettes, Le Pissot, Eglise Carmentron Plaisance reçoivent une isolation par l'extérieur ( enduit fibré sur isolation rigide par l'extérieur agraphée ). Les interventions dans les logements étaient très courtes, avec chaque soir la restitution du chauffage, de l’eau et de l’électricité au locataire.
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Les 18 logements, à ossature et bardage bois massif, font appel à la filière bois locale landaise. 14 sont locatifs et 4 en accession. Le plan masse comprend la réalisation en première ligne de maisons individuelles, d'un parc et du stationnement aérien et deux barres à R+1. Un jardin privatif est attribué à chaque logement. Les logements sont traversants et ouverts sur deux façades au moins. La performance énergétique est de niveau Thpe, les toitures sont végétalisées.
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Côté lotissement, le bâti referme un coeur d’îlot de jardins privatifs et côté vignes les constructions sont en peigne pour dégager des vues vers la campagne. Les logements individuels sont en duplex et adossés par deux ou par trois, leurs séjours ouvrent de plain pied sur un jardin privatif. Chaque habitation possède une double ou triple orientation. Des volets repliables et à lames orientables permettent de moduler l’éclairement et l’ensoleillement dans les séjours et les chambres. La construction est à ossature mixte bois/béton.
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Le maître d’ouvrage souhaitait faire de cet immeuble vétuste un ensemble de logements "décents". Nous avons proposé la réalisation de cinq appartements spacieux, lumineux et confortables, destiné à des familles. Calqués sur la volumétrie du bâtiment, un par étage plus un en fond de parcelle, les logements ont été acquis par des couples trentenaires, dont un seul avec enfant. Depuis, 5 nouveaux-nés sont arrivés ! Le parti a été de cureter, évider, vitrer et blanchir : le bâtiment était sombre et étouffait dans ses rajouts successifs. Les murs pierre ont été ravalés et chaulés de blanc, les murs démolis ont été refermés par des baies vitrées, 3 terrasses privatives ont été créées. Chaque logement possède deux chambres, un séjour de plus de 40 m², une cave, des rangements à valises au-dessus des pièces d’eau. Le «pigeonnier» possédant 4 orientations, pièce la plus haute de l’immeuble et une des plus hautes du quartier, a été transformée en chambre et dédiée au logement du R+5. Un ascenseur a été rapporté dans les anciens WC sur paliers.
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Adossé au centre bourg situé sur un côteau, «le Puch», le bâtiment projeté s’ouvre vers la campagne environnante. Vue de loin, l école délimite la zone construite de la zone cultivée et crée une façade arrière au village. Surplombant le paysage côté Nord, le bâtiment s’implante en creux par rapport au terrain naturel côté Sud, réduisant ainsi les vis à vis avec les habitations voisines. La cour, placée au plus loin des habitations, bénéficie de la vue plongeante vers les vignobles. La conception est bioclimatique, elle intègre les principes de démarche environnementale : construction sèche, compacité, confort visuel, éclairage naturel, apports solaires passifs, protections solaires.
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L'extension se fait par un bâtiment séparé, comportant 4 classes et un préau, un bureau de direction et un hall d'accueil. Le bâtiment est orienté Nord Sud, le préau est au plus près de la cour existante. La conception reprend les principes de développement durable : volume compact, isolation renforcée, zone tampon thermique, éclairage naturel, chaudière gaz à condensation, apports solaires hiver, protections solaires été, sanitaires 2 débits, éclairage des classes par zone, confort visuel et acoustique. Les menuiseries intérieures en bois, les cloisons et plafonds en plâtre permettent d’assurer un bon confort acoustique dans le bâtiment.
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Juchée sur une colline, la villa s’élève en étage entre les grands pins et le séjour bénéficie à la fois de la situation sur la crête et en étage, on se sent perché dans les arbres et la vue s’ouvre vers la forêt au Nord et jusqu’aux Pyrénées au Sud. Le jardin préserve l’ambiance de forêt landaise en conservant les pins, chênes lièges et arbousiers du terrain, le sol est juste desherbé et maintenu en tapis d’aiguilles de pins. Bois, métal et verre dessinent des volumes aérés.
De grands decks de part et d’autre du séjour créent un plateau flottant. La structure metal et bois de la maison allège les fondations par plots et ménage ainsi le sol racinaire. La transparence des façades des pièces de vie gomme la frontière dedans-dehors. Les chambres à rez-de-chaussée donnant sur le jardin et la piscine sont conçues comme des cellules autonomes, avec salle de bains, coin bureau et terrasse privative.
Bioclimatique, la maison est équipée de volets à lames de bois orientables et repliables pour moduler l’ombrage, la ventilation et les vis-à-vis. Les apports solaire d’hiver sont largement captés par les baies vitrées Sud et stockés dans les dallage et plancher. Le complément de chauffage se fait par le sol aux deux niveaux, sur pompe à chaleur air-eau. Le rafraîchissement est sans climatisation par surventilation croisée. La situation des chambres au rez-de-chaussée leur garantit une fraîcheur optimum en été. La piscine en béton poncé sans liner est entretenue par électrolyseur de sel.
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Le projet consiste à transformer une péniche de marchandises en habitation. Une première intervention l'avait transformée en centre d'accueil pour jeunes en réinsertion, avec la création de dortoirs dans la coque notamment. Notre intervention remanie l'ensemble et rajoute une surélévation au niveau du deck qui reçoit le séjour. L'extension est faite dans le même matéiau et la même méthode constructive que la péniche : tôle d'acier sur nervures acier.
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La silhouette allongée de cette construction s’adapte à son environnement. Côté rue, une façade étroite intègre en douceur son esthétique contemporaine. Côté forêt les espaces se décalent et ouvrent largement vers la forêt.
La maison est implantée au plus près de la limite nord, pour bénéficier pleinement du reste du terrain et de la vue sur la forêt. Les pièces à vivre s’orientent au sud et la longue terrasse avec sa pergola constitue une véritable extension de la maison. Appropriable en été comme en demi-saison, elle permet de gommer la limite dedans-dehors et répond au souhait du maître d’ouvrage de vivre dans cette maison comme dans une cabane.
La treille apporte une zone d’ombrage et un confort thermique en été tout en laissant passer le soleil l’hiver, dont le rayonnement et la chaleur sont captés par la maison grâce à son dispositif de larges baies vitrées.
Le bardage bois évoque à la fois l’esprit cabane, le contexte de la forêt et le choix constructif boismétal. La construction est à basse consommation conformément à la RT 2012 et son bilan carbone est minimisé par l’emploi du matériau bois en structure et bardage.
Phrase du client : « Notre souhait d’une maison de vacance pensée «Cabane», légère, espace ouvert à la lumière et à la nature, où la simplicité et la fonctionnalité l’emporte, a trouvé naturellement écho auprès de notre architecte. Aujourd’hui la Cabane achevée en est une traduction qui nous ravit. Pour ce premier été, les journées chaudes nous envoient sur la plage mais les soirées toujours tempérées dans notre région nous permettent de profiter agréablement des propositions de la cabane (terrasse, baies largement ouvertes, la chambre restant toujours plus fraîche). »
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Les occupants ont désiré ce terrain par amour pour le site jouxtant la maison familiale, ses terrasses, les murs et escaliers de pierres sèches, la vue et la rivière en contrebas, que la fille arpente depuis son enfance. La bergerie présente sur le terrain comporte deux corps de bâtiment aux murs et toiture de lauzes encore en place. Le projet est de les préserver comme elles sont, deux monolythes de pierre. Les extensions sont deux volumes indépendants qui jouent avec elles en symétrie d’implantation et en contraste de matériaux.
La première extension rajoute du sol et un abri extérieur, c’est une terrasse couverte qui apporte à la maison une pièce lumineuse et traversée par l’air en contraste de la bergerie sombre et fermée. La seconde extension est un monolithe de bois, isolé et facile à chauffer l’hiver.
On obtient une maison d’hiver de 30 m2, confortable et équipée pour 4 personnes, extensible à 70m2 l’été avec la terrasse couverte et la bergerie - pièce de séjour et cuisine d’été fraîche.
Les extensions s’intègrent dans le paysage en épousant le terrain. La construction sèche bois sur pilotis effleure le sol sans abîmer les terrasses de pierre sèche. Les terrasses proches de la maison ont été réparées et remontées en pierre sèche. Le chemin vers la rivière a été remonté en partie. Le projet est une autoconstruction de plus de 10 ans, il n’est pas fini puisque de nombreux murs restent à réparer, ainsi que la béalière et les coupées d’eaux du site.
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Situé au dernier étage de l’immeuble, l’appartement bénéficie de combles aménageables et de la verrière de la cage d’escalier de l’immeuble, qui lui a été dédiée sous la condition de remplacer l’ancien escalier bois d’accès aux combles par un escalier en verre qui préserve l’éclairage zénithal des parties communes.
Un décloisonnement du niveau inférieur de l’appartement permet au séjour-salon-cuisine de profiter d’une double orientation Est-Ouest. Des intimités sont ensuite redonnées par la création de placards séparant deux espaces et de cloisons mobiles permettant de fermer ponctuellement l’escalier ou la buanderie. La partie nuit située au niveau haut est au contraire bien cloisonnée. L’intimité des chambres est renforcée par la création de pièces tampon et par les cloisons isolées phoniques avec portes en bois massif. La création de fenêtres intérieures de style industriel amène la lumière de la verrière au coeur des deux salles d’eau.
Dans une deuxième phase, les travaux ont été complétés de l’aménagement du séjour et de la création d’une terrasse. La terrasse vient se poser sur le toit d’un corps de bâtiment annexe s’arrêtant à l’étage inférieur de l’appartement. Cette extension très qualitative apporte à la fois des échappées visuelles vers le Jardin Public, un prolongement du logement et la création d’un espace de vie extérieur qui manquait à l’appartement.
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Ce projet est un exemple de densification naturelle : la famille s’agrandit, on construit. Les parents ont détaché deux parcelles pour leurs deux enfants sur le terrain familial. Un grand jardin clos regroupant une grande maison pionnière art déco et deux maisons « nouvelle génération », plus petites mais fonctionnelles, conçues en faux-miroir. Ce projet évoque la famille et le foyer, la recherche d’intimité par rapport à la vie sociale - l'avenue, les mitoyens -, les relations parents enfants et le thème de la fratrie. Ici, le foyer c’est le jardin, les maisons sont les intimités nécessaires à chacun, des unités équipées et directement connectées sur l’extérieur. Une nouvelle forme d’habiter ? Tous les arbres sains du jardin familial ont été conservés. Le choix de toits terrasses évite l’émergence de toitures au-dessus du mur côté rue. Un des enfants étant handicapé, sa maison est adaptée pour les personnes à mobilité réduite. Les façades jardin s’ouvrent largement pour une relation dedans-dehors privilégiée et pour accueillir le soleil dans les maisons. Faites en construction sèche, elles sont à ossature métal et bardage minéral. L’ECS est solaire, le chauffage au bois pour la maison non PMR. Le projet mutualise l’accès, la conception et le chantier pour minimiser les coûts et les nuisances.
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La principale contrainte du site, une forte pente orientée Nord du terrain, nous a conduits à créer un nouveau sol de référence. Cette plateforme sur pilotis effleure le terrain en pente pour relier les deux sols. Elle permet du coup à la maison de s’orienter au sud et de créer des terrasses horizontales praticables.
Afin de conserver le plus possible d’arbres sur le terrain, la maison se décompose en trois volumes qui se glissent entre eux. L’implantation du bâtiment principal se fait dans la bande de terrain située entre les deux maisons mitoyennes de manière à éviter les vis-à-vis. Les matériaux choisis en extérieur (bardage bois Douglas naturel, toiture en bardeaux de Mélèze, caillebotis pin, acier, zinc, aluminium, vitrages) accompagnent le mimétisme de la maisons dans les arbres par leurs teintes proches de celle des troncs et du paysage forestier. La maison évoque les constructions traditionnelles de la région landaise : cabanes de pêcheurs tchanquées, palombières, airials.
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La maison fait référence aux maisons modernes classées de Le Corbusier situées à moins de 100m et aux granges et cabanes de pêcheur du bassin d’Arcachon. Elle s’inscrit dans le gabarit général à R+1 des maisons de lotissement environnantes, et s’implante au Nord du terrain pour dégager un grand jardin et une large façade au Sud. Son orientation, sa compacité et ses grandes ouvertures au Sud en font une maison bioclimatique à basse consommation. Le procédé de construction sèche a été retenu, la structure des murs et de la toiture est en bois massif. Les baies exposées sont protégées du soleil direct d’été par des stores à bras et une pergola. Le bilan carbone de cette construction est positif.
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Située sur un très petit terrain en seconde ligne d'une zone pavillonnaire, la maison se serre contre la limite constructive Nord (maison étroite et à étage) afin de dégager le plus grand jardin possible. Elle présente côté Sud sa plus grande façade, largement vitrée, côté Nord une façade aux ouvertures petites et côté Est et Ouest des façades étroites. La finesse de la maison permet de simplifier le système constructif, par simple pannes traversantes. La teinte extérieure fait référence aux teintes des maisons environnantes, claire. Un toit terrasse a été proposé pour minimiser la hauteur de l'ensemble en égard aux voisins. La maison est à ossature bois et bardage en plaques de béton fibré, sa conception est bioclimatique : captage et stockage des apports solaires, ventilation croisée, rafraichissement d'été par courants d'air, panneaux solaires pour la production d'eau chaude. Le chauffage est prévu par chaudière électrique et radiateurs, ce qui permettra à terme d’installer la chaudière à granulés de bois prévue initialement mais trop coûteuse.
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Le terrain est constitué d’une vaste prairie au dénivelé de plus de 2m40. Conçue sur pilotis pour se dégager des irrégularités du terrain, éviter d’importants terrassements et pour ne pas dénaturer le profil de la colline, la maison crée du coup une double hauteur d’étage côté bas de pente. La construction s’insère au mieux dans le paysage environnant grâce à ses limites progressives laissant passer la vue. Les nombreuses semi-transparences sont ménagées par les espaces intermédiaires créés autour de la partie habitation ( vide sous pilotis, galerie, terrasse couverte ). C'est une maison solaire passive : serre captant l’énergie solaire d’hiver, débords de toiture au Sud et à l’Ouest pour protéger du soleil d’été et des vents dominants ( pluies ). Sa forme longiligne présente au Nord et côté route sa plus petite façade.
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La limite dedans-dehors disparaît dans cette maison largement ouverte sur la forêt avec notamment sa baie vitrée ouvrable sur 8m sans poteau. Des espaces intermédiaires mi-extérieurs, mi-intérieurs participent à ce flou des limites : balcons, terrasse de 30m2 doublant la surface du séjour en été, entrée - jardin d’hiver. Située à la place d'un gros roncier vers le milieu du terrain, la maison se camoufle dans une couronne épaisse de bois et de sous-bois, elle monte entre les arbres plutôt que de s’étaler (aucun arbre n'a été abattu ) et présente côté rues ses plus petits côtés. La maison utilise l’énergie solaire passive couplée au gaz, par planchers chauffants. L’hiver, elle capte l’énergie solaire par ses larges baies vitrées Ouest et par la serre Est, et la stocke dans ses dallages. Les faces Nord et Sud soumises aux plus grandes variations thermiques sont plus fermées, en maçonnerie de béton et isolant intégré. La forêt de chênes laisse passer le soleil l’hiver et apporte ombre et fraîcheur en été. Les balcons permettent de se dégager du sol et de se rapprocher du feuillage des arbres, ils sont à la fois des observatoires et des espaces extérieurs intimes, liés aux chambres ou à la salle de bains.
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Le terrain est dans la forêt des Landes protégée : les abattages d’arbres sont proscrits. Les pins sont très élevés et très serrés, ce qui nous a conduits à projeter une maison hissée sur pilotis pour moins d’impact au sol et sur les racines des arbres, et à décomposer la maison en petits volumes décalés. Nous avons proposé une forêt de pilotis dans une forêt de pins, en évocation à la tradition landaise de pilotis ( échasses des bergers, poulaillers des airials traditionnels, palombières ). Les espaces principaux de la maison sont accompagnés de modules satellites à usage de chambres-cellules de vie. Ainsi, les lieux intimes sont séparés spatialement et phoniquement des lieux de vie bruyants. La maison est pourvue de larges terrasses de vie et de circulations dans les arbres, on peut y vivre comme le baron perché de Italo Calvino, sans toucher le sol. Un maximum de lumière est recherché, les arbres ombrageant à l’année le terrain. Ce projet malheureusement ne verra jamais le jour car l'équipe municipale et l'architecte conseil ont refusé le permis de construire, jugeant le projet ostentatoire ( la maison "culmine" à 6m à l'égoût comme autorisé au PLU ! ) et ne s'intégrant pas dans l'environnement. L'environnement c'est pour eux le lotissement en contrebas et non la forêt dans laquelle il prend réellement place. Les pilotis ne seraient pas traditionnels de la région, et les arbres conservés ne pourraient pas survivre. La nouvelle maison dont le permis a été accepté est un bloc blanc, bien visible, sans pilotis et toujours de 6m à l'égoût et qui prévoit l'abattage d'arbres sur son emprise.
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Les propriétaires souhaitaient ajouter deux chambres à leur maison d’architecte des années 60. Ils pensaient aussi faire un garage plus tard. L’exigüité de l’ensemble nous a conduits à proposer une seule chambre neuve pensée comme un studio, l'autre étant créée par la réunion de deux pièces trop petites de la maison. En proposant d'intégrer le garage au projet, une extension côté rue devenait possible. Pour investir un territoire tampon situé entre la maison et la rue sans concurrencer l'architecture de la maison, nous avons choisi un vocabulaire contextuel ne faisant pas partie de la maison : la clôture existante. Le jeu de lamelles verticales de la clôture est repris en grand. Il en ressort une architecture hybride qui confère à l’extension ce caractère intermédiaire souhaité, ni maison ni rue, à la fois intime et extérieur. Le garage proposé est un porche ouvert, d'entrée, stationnement et rangement. Les espaces créés filtrent les vues directes et donnent une intimité à ce jardin avant, ce qui permet la création d'une chambre largement vitrée côté rue.
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La maison est composée de façades porteuses en briques monomur isolantes et d'une charpente simple par pannes traversantes. La couverture est en zinc et les façades enduites à la chaux en extérieur et au plâtre traditionnel en intérieur. Les longues façades profitent des orientations favorables Est et Ouest, de larges baies permettent de capter le soleil d’hiver, les volets roulants régulent les apports solaires et protégent du froid la nuit. La maison est conçue comme une "tranche" de maison, son large pignon permet d'atteindre au mieux les objectifs du programme malgré un PLU contraignant tout en optimisant l'éclairage des pièces. Sa faible largeur permet d'optimiser le système constructif. Elle propose côté rue une façade étroite, ménageant ainsi de larges vues vers le paysage environnant.
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Un ancien bar de plein pied avec trois orientations, sans copropriété, une cour et proche du centre ville, nous a paru pouvoir devenir une maison de ville avec jardin. La recherche de silnce et d’intimité nous a conduits à retourner le bâtiment vers sa cour : la nouvelle entrée se fait en deux temps, dans le jardin puis dans la maison. Afin d’empêcher la vue des passants, un mur plein clôt le jardin et les vitrages sur rue sont dépolis jusqu’à à 2m du trottoir soit 1m50 du sol intérieur, ce qui permet de conserver la vue depuis l’intérieur. Le mur de clôture qui intériorise le jardin et la création d’une large baie vitrée sur la façade jardin font qu'on se sent habiter un séjour-jardin de 90m2 au lieu des 40m2 de séjour construit. La maison est cloisonnée au minimum : une seule porte, une cloison support de sanitaires, un placard -cloison, des murs mobiles et des rideaux, permettent de ménager des triples orientations et des vues traversant les pièces, et des pièces de taille modulable en jour-nuit. La maison est solaire passive : Le sol de béton noir stocke l’énergie solaire directe captée par la baie plein Sud. Un store–banne extérieur se déroulant sur 2m50 permet d’ombrager l’intérieur de la maison et la terrasse l’été. La création d’un jardin de paysagiste ( Paul Trouillot ) complète le dispositif phonique et thermique de la maison, et achève la mutation de la cour en pièce supplémentaire (prolongement du plan de travail avec table d'aromates, « tapis » enherbé, placards extérieurs...).
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Pour un site entre-deux, nous proposons un projet entre-deux, un habitat hybride et indéterminé pour conforter ce qu’est déjà l’essence du lieu. Cet esprit du lieu conditionne l’impression de liberté que l’on y ressent. On imagine une urbanité nouvelle, très libre, laissant la place à l’indéfini. Notre image de référence, les 3 âges de la femme, en est l’îcone. Nous voudrions que tous les âges cohabitent, que les familles puissent vivre avec les jeunes célibataires pressés et les retraités ayant besoin d’attention.
Le projet mêle la maison individuelle, la résidence, le loft. Le vocabulaire architectural est un mixage d’archétypes existants, comme un groupe de personnes aux identités variées, pour que chacun s’y reconnaisse et reconnaisse la différence de l’autre. Il est proposé à la fois de l’habitat individuel avec garage et jardin ; des maisons groupées favorisant les échanges avec jardin privatif ou séparé – de type jardin ouvrier – ; des appartements en résidence avec services et espace public commun - jeux, promenade - ; et des lofts individuels sur les toits avec vue imprenable sur la mer et un accès rapide au parking puis à l’autoroute.
Le projet prévoit enfin de soulever l’autoroute qui longe la mer devant le terrain pour laisser le bord de mer aux habitants, de plein pied. Les espaces non bâtis et non affectés aux jardin sont recouverts de graminées. Ces champs restent plats et silencieux, comme une parenthèse ou une marge entre villes.
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Le Baron Perché de I. Calvino nous a inspiré un mode d’habiter les arbres qui soit modulaire et progressif, à la façon dont lui construisait ses passages et ses abris. Le baron dormait dans une outre fourrée et fabriquait des passages entre les arbres. Les lieux de l’intimité – repos, toilette – sont des cocons sur un palmier. Les lieux de mouvement et d’échanges sont des passerelles ou des plateaux, passerelles élargies tendues entre plusieurs palmiers.
Mode de «croissance» de cet habitat :
1. treehouse originel = 1 cocon
2. 1 + 1 cocon, avec 1 passerelle
3. si on tresse un troisième cocon, la passerelle devient une plate-forme
4. 3 + 1 cocon avec une passerelle ou un triangle de plancher,…
Plateaux et Cocons sont équipés de structures où accrocher tentures ou panneaux, étagères, lits et hamacs. La plateforme commune est ouverte sur toutes ses faces. Elle se couvre de plaques de polycarbonate contre la pluie et de lamelles de bambous contre le soleil. Sur le pourtour on déroule des stores pour ombrager le plateau ou se protéger de la pluie. Comme équipement, une paillasse pour cuisiner, une poulie pour hisser les affaires.
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Maisons d'aujourd'hui à 100 000 euros |
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Treehouses in paradise |
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2008 une année d'architecture en France |
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2010 une année d'architecture en France |
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Maisons de Gironde 2 |
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